SOREL : jeune premier romantique, a l’allure svelte, les traits de beaux gosses et le patronyme stendhalien. Aujourd’hui à 32 ans, il a appris à maîtriser la flamme de son inspiration et ciseler ses chansons avec une maturité d’orfèvre.Que ses refrains pétillent comme du champagne (La Chanson des amants, Sorry, Chante moi) ou s’embrument de nostalgie (A la guerre comme à la guerre, Je reviens de loin, Je me souviens), Sorel trouve avec sa guitare folk, son piano et la chaleur de sonorités organiques, les clés d’une dynamique euphorisante.